Le plan n’est
pas le territoire
Un voyage qui dépasse la simple vision d’un pays. Un road movie où la vitesse est celle du regard. Une quête à la recherche de l’immense diversité d’un pays qui, pour beaucoup, reste inconnue.
Deux jeunes cinéastes voyagent de village en village dans une Coccinelle bleue de l’année 72, explorant chaque coin de l’Uruguay, à travers le cœur de ses habitants. Leurs bagages ? Des caméras, de l’équipement de prise de son et une envie tenace d’extraire les trésors de chaque rencontre à venir.
Le spectateur embarque avec l’équipe et fait partie du voyage, il crée ses propres connexions et vit chaque paysage, chaque histoire, entraîné par le rythme du périple.. À travers le récit de chaque personne interviewée, il lui est donné de découvrir un regard sur le monde qui finalement s’agrègent et donne corps à ce territoire au nom de rivière, Uruguay.
Un espace hors temps, temps arrêté dans sa course, où des questions existentielles s’invitent. Qu’est-ce que la joie ? Qu’est-ce que l’amour ? La mort, le malheur, la famille… Les Uruguayens se mettent à nus, nous les écoutons. Ils deviennent ensemble les liens de cet épais maillage. Au bout de l'ouvrage, ce petit pays, gigantesque.
Amène-moi chez moi
Après 5 ans en voyageant autour du monde, presque sans contact, Noé Le Forestier et Renzo Lettieri se retrouvent en Uruguay, au milieu d’une pandémie. C’est ainsi qu’ils se découvrent un désir commun: celui de redécouvrir leur pays et de tisser avec lui des connexions nouvelles et retracer des significations.
Ce film est à la fois du cinéma humaniste et un road-movie. Par le biais de ce mélange des genres, nous voilà guidés à bord de deux voyages narratifs. Tracés complémentaires et différents.
Pendant les entretiens, les cinéastes établissent un lien de sécurité et de naturalité avec les interviewés, cherchant toujours à mener les personnes à la lisière de la trance. À ce moment, le reflet de l’objectif dialogue avec l’âme. Cela permet aux cinéastes de créer un espace d’intimité, d’immerger les spectateurs dans l’image, donnant la sensation d’échanger directement avec le protagoniste tandis qu’il lui livre ses secrets, ses désirs et ses rêves.
Noé Le Forestier
Né à Maldonado, il effectue son parcours académique en France. Noé a étudié les Sciences de la Communication à l’Université Paris VIII, où il s’est spécialisé en Écritures Audiovisuelles. Après cette première approche, il trouve sa voie définitive et rejoint le Master en Cinéma Documentaire et Archives à l’Université Bordeaux Montaigne.
Passionné par la sociologie et la philosophie, il est animé par l’envie de comprendre l’humain dans toutes ses formes. Après la théorie, il met en pratique son désir de comprendre la société en réalisant un documentaire de fin d’études, « Portraits du Garrit », codirigé avec Pierre Bertrand. Une première prise de contact avec le genre.
Expériences qui ont nourri son regard, nourri son regard sur le monde, puis il revient en Uruguay, avec l'incontournable la volonté de retrouver ses racines, de se reconnecter avec ses concitoyens.
Renzo Lettieri
Photographe et cinéaste né à Montevideo, Renzo a fait des études d’arts visuels. Très tôt, il réalise des cours d’assistance de caméra à l’Université de Cinéma et de Photographie à Montevideo. Il est réalisateur de plusieurs courts-métrages, où il développe son regard, sur des projets notamment liés à la nature. En 2021, il monte sa société de production spécialisée dans la nature et dans le tourisme.
Voyageur infatigable, il a passé les dernières années à explorer les profondeurs de l’Asie. Après des mois dans la jungle de Bornéo et aux confins de l’Indonésie, pour ensuite éprouver la ferveur des villes thaïlandaises, Renzo s’est fait naturaliste et aussi apprenti sociologue.
Aujourd’hui, en plus de travailler à sa société de production, il développe des projets personnels qui lui permettent de prolonger ses expériences. Il expérimente, puis partage avec sa caméra.
Chaque visage
un poème
Lors des entretiens, on retrouve un arrière plan noir, neutre. La photographie a pour but d’imprimer l’essence des personnes, dans leur totalité. Les cinéastes constituent cette mise en scène afin de centrer le spectateur dans les expressions et dans le regard des personnes.
bagages pour
le voyage
Dans les interviews, un fond noir neutre. La photographie vise à imprimer l'essence dans sa totalité, l'accent est mis sur l'expression. Ni blanc ni jaune, l'équilibre des couleurs de la lumière est réel, avec une subtilité du design, ceci pour montrer un discours sans filtre, vraiment.
La musique est dans le paysage
La musique est l’une des clés-de-voûte de ce projet. Dans Retratos del Uruguay, la musique ne guide pas, elle a pour but d’intensifier chaque sensation. Une bande-son immersive qui nous raconte l’identité plurielle du pays ; elle réveille l’envie de découvrir, de le comprendre, de le connaître. Cette identité musicale empreinte d’Uruguay sera constituée par des collaborations multiples avec des artistes nationaux, qui, se joignant à cette quête, donneront une dimension plus ample encore à ce film.
Début du voyage : mars 2022
Régions : côte nord, côte sud, métropolitaine, centre, nord-ouest et est
Temps de tournage : 8 mois
Temps de post-production : 4 mois
Prévision de projet fini : mars 2023
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Genre : Documentaire
Durée : 1h30
Anette
Bittencourt
Ce film veut proposer au monde un voyage en Uruguay. Brésiliens et amoureux de l’Uruguay, ce trio de coproducteurs veut appliquer sa grande expérience en réalisation internationale et donner vie à ce documentaire. Pour eux, il s’agit d’un moyen de partager un regard neuf sur l’idiosyncrasie nationale. C’est un défi, doublé d’une belle opportunité d’explorer un marché audiovisuel en pleine expansion.
Coproduction
Née à Porto Alegre (Brésil), Annette à fait des études en Communication Sociale à l’Université UFGRS. Elle a travaillé dans plusieurs sociétés de production avant de fonder Zeppelin Filmes en 1991. En 25 ans d’activité, elle a produit des films publicitaires, ainsi qu’une myriade de projets de fictions pour des clients internationaux. Aujourd’hui, elle habite en Uruguay, où elle tisse de nouvelles connexions.
Tyron
turbot
Tyrone est né dans le centre du Brésil, dans une ville appelée Goiânia Encore adolescent, il déménage à Porto Alegre où il fait des études de Publicité et Marketing à l’ESPM RS. Durant ces études, Tyrone se concentre à développer un savoir-faire en communication sociale appliqué à la publicité. Suite à cette expérience, il devient assistant de caméra sous la direction de Fred Luz. Durant son parcours, il exercé son talent dans Cápsula Filmes, Zeppelin Filmes et 02 Filmes, en développant des annonces publicitaires pour des clients de partout autour du monde.
Pendant deux ans, il est membre de Concept à EYXO - Strategies for innovation -, une entreprise qui vise à développer du contenu digital. Depuis le début de la pandémie, Tyrone habite en Uruguay où il s'est installé en Uruguay, pays depuis lequel il suit un cursus en production cinématographique à la New York Film Academy.
Fred
Léger
Fred Luz est un directeur de cinéma, mais avant tout, un spécialiste, au moment de raconter des histoires. Si vous habitez en Amérique Latine, une de ses réalisations vous est déjà sûrement passée un jour sous les yeux. avec désormais plus de vingt ans d’expériences, il travaille maintenant chez 02 Filmes, l’une des plus grandes sociétés de production au monde.
Durant sa trajectoire, Fred a œuvré dans des pays comme l’Irlande, les États-Unis, etc…, ainsi que partout autour de qu’en l’Amérique Latine. Fred a réalisé des films pour des clients tels que: Johnson & Johnson, Nivea, Coca-Cola, Itaú, Santander, Volvic, Natura, Betfair et Electrolux. À présent, il cherche à développer des projets qui aient du sens, et qui participent à la transformation positive du monde.
Retratos del Uruguay s’est construit une communauté, qui ne cesse de s'étendre sur les réseaux sociaux. Ce qui était au départ un projet de thèse, a pris une grande ampleur grâce à un réseau de partage et d’interactivité. Avec la publication de fragments d’entretiens et d’écrits autour de l’aventure, le projet cumule déjà plus de 900.000 vues.
Le réseau de Retratos
Pendant les mois de juin et juillet 2021, durant 29 jours, Renzo et Noé vivent une première expérience de cette aventure. Elle prend place comme un essai, avec pour finalité de mieux comprendre le format et la faisabilité du projet. Durant ce premier voyage, ils sont passés par trois départements où les images qui constituent cette présentation ont été tournées.
Actuellement, l’équipe est en phase de financement, en cherchant à établir des liens afin de pouvoir poursuivre sur cette route.
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Où en
sommes-nous ?
À l’ère de la mondialisation, il est essentiel de célébrer le local. Le retour aux interconnexions humaines entre des différentes cultures est l’une des plus fortes motivations qui mènera Retratos del Uruguay à traverser les frontières.
La participation dans des festivals de genre est l’une des stratégies de distribution que nous adoptons. Ci-dessous, quelques lieux où notre voix peut faire écho:
Documentary Edge Festival - Auckland / Nouvelle-Zélande
DocsBarcelona Festival international du film documentaire - Espagne / Barcelone
Festival du film Beyond Borders - Kastellorizo / Grèce
Millennium Documentary Film Festival - Bruxelles / Belgique
Etats Généraux du Film Documentaire - Lussas / France
FIPADOC - Festival International du Documentaire - Biarritz / France
Latino Docs - Toulouse / France
Escales Documentaires - La Rochelle / France
Les Etoiles du Documentaire - Paris / France
DocBsAs - Doc Buenos Aires / Argentine
Festival international du film documentaire de Mexico - Mexique
It's All True International Documentary Festival - São Paulo / Brésil
